Les façons dont nous nous limitons nous-mêmes.

28/06/2022


J’ai envie de vous parler des quelques changements de perspective qui ont révolutionné ma propre vie, et qui constituent l’entrée, le plat de résistance et le dessert de cette petite révolution sociale que j’aimerai que, nous, les mamans, nous arrivions à mijoter un de ces jours.
C’est la fin de l’année scolaire et, comme en décembre, c'est un peu le moment de l'année où l'on fait le point sur soi-même, avant de partir en vacances.
Je me suis dit que j'allais revenir sur l'idée des limites que l'on s'impose à soi-même et que j'allais en évoquer quelques-unes que j'ai reconnues en moi depuis l'année dernière avant de changer de perspective.

 Je pense sincèrement qu’un regard honnête sur les façons dont nous nous mettons en travers de notre propre chemin peut être utile comme une sorte d’auto-sabotage subconscient.

L’objectif de tout ça : arriver à se dégager un chemin pour de nouvelles intentions pour l’année prochaine ! 

Bien sûr, vous pouvez appliquer vos nouvelles résolutions et les ranger immédiatement dans un coin de votre tête pour ne plus jamais y revenir, mais vous avez beaucoup plus de chances d'arriver quelque part si vous écartez d'abord toutes les merdouilles qui vous bloquent le passage.

Voici une histoire que je me suis racontée tout au long de cette année, suivie de la vérité que j'ai pu constater après réflexion (oui oui, j’aime bien me triturer le cerveau).
 

dessin d'uncerveau qui fait du sport

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“LORSQUE JE REUSSIRAI À ACCOMPLIR _________ , 

JE TROUVERAI LA JOIE QUE JE RECHERCHE”.
Je pourrais écrire pendant des heures et des heures sur la création du calme dans ma vie et sur l'expérience d'un amour inconditionnel.

Je les ressens tous deux abondamment dans ma vie et j'y reviens facilement lorsque je commence à perdre l'équilibre.
 

Mais la JOIE ?
 

Pas juste comme un concept abstrait, mais comme une constante profonde et pénétrante tout comme la paix et l'amour.
Pas seulement comme une émotion qui permet de surmonter rapidement la tristesse, la nostalgie.
La joie comme un catalyseur de rires fréquents malgré le chaos de plus en plus constant ? 
Disons que ces derniers jours, cela ne siffle pas autant qu'avant.
Entre les 3 dernières années de crise sanitaire qui me semblent loin d’être terminées, avec le contexte politique particulièrement tendu du moment, avec le droit à l’avortement aux Etats-Unis qui vient de sauter par le pouvoir de seulement 9 personnes (dont 3 femmes)...
Je suis en colère, et j’ai beaucoup de mal. Je commence à comprendre pourquoi une abondance de joie m'a quelque peu échappé ces derniers temps.
Ce n'est pas vraiment une surprise.

Parfois j’essaie de me convaincre que la joie est une chose qui se gagne une fois que tout est à sa place. Alors qu’il n’en est rien.

Je pourrai être en joie une fois que mes enfants seront en sécurité (mais quelle sécurité quand on voit que les droits de la femme peuvent être retirer d’un claquement de doigt).
Je pourrai être en joie une fois que j'aurai réussi à trouver un équilibre entre le travail et la vie de famille, une fois que j'aurai créé des liens avec un groupe d'amis, planté un jardin, avoir une maison ou gagné 100k en tant qu’entrepreneur. Par conséquent, la joie semble généralement n'être liée qu'à une famille heureuse, un nouvel ami ou une journée productive.
A chaque fois que j’ai eu ces pensées là, sans m'en rendre compte, j'ai empêché le flux organique de la joie dans ma vie en la recherchant au lieu de simplement m'y ouvrir.

Peut-être que, dans ces cas-là, je m'attends à ce qu'elle vienne de la manière dont je l'avais expérimentée auparavant, la réduisant à quelque chose de beaucoup moins grand, abondant et généreux qu'elle ne l'est réellement. 

Dites-vous que, toujours présente, gratuite et sans limites, la joie existe simplement et attend gentiment que nous la remarquons….
Je vous propose aujourd’hui, simplement, dans votre journée, de la remarquer.
Mettez de côté vos pensées et profitez-en !
 

Vos pensées ne sont que des pensées. 


Vos attentes vous poussent vers le futur et je vous propose de vous ramener dans le présent. Car la joie ne peut pas être ressentie demain, ni dans 1 semaine, ni dans 10 ans. N’attendez pas pour la consommer.


A très bientôt.

Anaïs 

 
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