Vous et moi ne faisons pas partie du problème.

07/06/2022

NOUS EN FAISONS DÉJÀ BEAUCOUP...
 
Nous pouvons sentir nos failles, 
 
Mais c'est parce que nous sommes en première ligne du problème.
 
Cela signifie que nous sommes les premières touchées.
 
Nous absorbons l'impact d'une structure sociale brisée et toujours oppressive.
 
De cette façon, nos enfants n'ont pas à le faire.

Cela fait de nous des héros, pas des faibles….
 

SUPERGIRL

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Effectivement, nous ne sommes plus esclaves de la même façon qu'avant (ni de la même manière que d'autres femmes dans le monde le sont encore d’ailleurs), 
Mais ne vous y trompez pas :

En l'absence du village, nous sommes désavantagées comme jamais auparavant.

Nous avons certes peut-être plus de libertés que nos mères, mais la pression qui est sur nos épaules est encore plus grande.
Elle est aussi terriblement disproportionnée et oppressante.
Depuis la nuit des temps (et jusqu'à très récemment), les mères ont porté ensemble les défis de la vie.
Nos mères et nos grands-mères ont frotté leurs vêtements dans les lavoirs en riant de leurs enfants qui s'éclaboussent.
Elles ont tissé, cousu, cueilli, rangé ou réparé en échangeant des histoires et en s’occupant des aînés vieillissants. 
Elles ont soigné les blessures des uns et des autres (physiques et émotionnelles… alors pour le côté émotionnel, je dirais : tant bien que mal et avec les outils de l’époque, ce qui équivaut à pas grand chose).
Elles se sont appuyées les unes sur les autres pour trouver de la force dans les moments difficiles et elles ont demandé conseil aux anciennes de leur communauté, qui étaient sages, expérimentées et appréciées.
La vie de village a favorisé un sentiment de sécurité ou il était possible de se sentir inclues et acceptées.

Et maintenant ? 

Maintenant, nous sommes obligées de créer notre propre village pour nous-mêmes dans une société qui s'est physiquement et énergétiquement restructurée autour d'un tout nouvel ensemble de priorités.
Le profit passe avant les gens ce qui menace le bien-être de presque TOUT ce que nous, les mères, sommes programmées pour protéger.
Bien que je sois optimiste et pleine d'espoir de nature, ce dilemme m'a souvent découragée au fil des ans.

Comment une société entière peut-elle laisser un tel fardeau sur celles qui donnent la vie ?

Ceci dit, attendre une solution d’une société en laquelle je ne crois plus, n’est pas vraiment une solution.
Pour ma part, je construis petit à petit mon village, en local et au-delà aussi. Il est vrai qu’avec un premier enfant et, qui plus est, un nouveau-né, on a pas forcément l’énergie pour cela (ni parfois/bien souvent, la conscience de le faire).
Que faites-vous pour créer votre propre village ?
En avez-vous conscience ?
Et si vous n’y arrivez pas, dites-moi ce qui bloque ?

A très bientôt.

Anaïs 

 
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