Nous nous contentons (et demandons) des miettes. 

14/10/2022


Nous avons désespérément besoin de satisfaire non pas un, mais plusieurs besoins fondamentaux qui ne sont pas satisfaits (ou même reconnus) par la société dans laquelle nous vivons. 

Nous nous contentons (et demandons) des miettes. 
 

femme désespérée

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Bon, je vous l'accorde, il est un peu chelou ce GIF...


Je reprends : Je ne peux pas vous dire combien de clientes avec lesquelles j'ai travaillé qui, une fois que
nous avons enfin réussi à éliminer suffisamment de croyances limitantes pour qu'elles se sentent dignes de s’accorder un tout petit peu de temps pour elles, planifient ou demandent à leur partenaire le strict minimum, comme une heure ou deux de sport. C'est souvent juste le temps de se préparer un thé, d’aller prendre une douche, de verser quelques larmes de soulagement et de sauter à nouveau dans son quotidien. C'est comme demander des miettes quand on a la dalle et qu'on ne sait pas quand est ce qu’on mangera de nouveau. (Et là, on peut de nouveau regarder le GIF précédent et ça fait sens ;)) 

Le fait est que cela ne comble pas le besoin, cela ne fait que mettre en lumière le fait que nous sommes mal nourries. 

Notre corps a besoin de temps pour se détendre. Il est pratiquement impossible d'accéder à l'état de sérénité auquel nous aspirons lorsque nous prenons du temps pour nous et que nous sommes seules,
tant que notre corps n'a pas eu le temps de se détendre et de revenir à un état plus stable. On ne peut espérer être productive, créative après des semaines ou des mois de surstimulation constante. 

Notre épuisement trouve enfin un exutoire lorsque nous sommes seules.

Il est très difficile de trouver un espace pour vos émotions lorsque vous êtes en charge d'enfants 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, et souvent, nous ne réalisons même pas à quel point nous avons réprimé nos émotions jusqu'à ce que nous soyons enfin seules. 

Combien de femmes j’ai entendu me dire : “j’ai envie de pleurer là mais je ne peux pas” ?

Et il n’est pas rare que, lorsque nous sommes "tranquilles", cette douleur pour quelque chose que nous ne pouvons pas mettre le doigt dessus, s'intensifie. Je crois qu'une grande partie de cette douleur est enracinée dans notre besoin d'être soutenues par une communauté (le fameux village), d'être guidées et aimées, d'être initiées et de nous sentir connectées les unes aux autres. 

Lorsque nous ne savons pas ce qui nous fait souffrir, nous prenons souvent notre émotion parfois pour de l'ingratitude ou encore pour une dépression inexplicable et nous nous en voulons (encore cette culpabilité). Puis, avant même que nous nous en rendions compte, notre précieux petit temps libre est terminé.

Ca vous fait ça à vous ?

... et si faire autrement était possible !

La suite au prochain épisode…

A très bientôt.

Anaïs 

 
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