LE BLOG DE MAMAN SE REBELLE
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Quel est le problème de se considérer comme femme "forte" ?
L'une des façons les plus courantes de voir des femmes puissantes se saboter est de croire que, parce qu'elles PEUVENT gérer beaucoup de choses (beaucoup de stress, beaucoup de dysfonctionnements, beaucoup de mauvais traitements, etc.), elles DEVRAIENT forcément le faire, sans failles et sans aides. On dit de moi que je suis une femme “forte”. J'étais assez forte pour gérer certaines périodes “touchy” de ma vie, et mes enfants, mon compagnon, mon entourage avaient besoin de me voir “forte”, alors j'ai continué. J'ai ignoré ma petite voix intérieure qui me demandait d’être soulagé, qui me demandait d’être aligner. Cette toute petite voix était si faible que c’était facile pour moi de mettre des œillères. Alors je l'ai minimisée. Je l’ai ignorée. Et j’ai travaillé encore plus dur pour prouver que j’étais cette femme “forte” qui peut tout gérer sans relâche et sans aide. Mais à quel prix ?
Vous aimez-vous sous condition ?
Vous êtes vous déjà demandé si votre amour-propre était conditionnel ? Vous savez, l’amour propre, c’est ce sentiment que vous avez de votre dignité ou de votre valeur personnelle. Prenons l’exemple du physique. Aujourd’hui, j'accepte et j'aime mon corps (enfin ça dépend si j’ai mes règles ou pas), mais pour autant, à une époque, les investissements que je faisais pour ce corps ne venaient pas d'un endroit où je voulais prendre soin de moi mais parce que la société/l’entourage me disait qu’il fallait que je sois comme si ou comme ça. J'ai vu ce schéma dans d'autres parties de ma relation avec moi-même.
Pourquoi les mères sabotent leurs précieux moments de solitude ?
Entre les responsabilités familiales et professionnelles, comment réussir à s'offrir des moments de solitude ? Nous nous plongeons souvent dans nos rôles sans prendre en compte nos propres besoins. Lorsque nous tentons enfin de passer du temps seule, la culpabilité nous envahit. Pourtant, cela peut être dépassé. Nous ne sabotons pas nos moments de solitude, mais nous négligeons nos besoins fondamentaux. Nous nous contentons de miettes, mais nous méritons bien plus.
Est-ce dur de s'identifier comme Maman Rebelle & Féministe?
Nous voici moi et ma rébellion (en douceur) pour ce 3ème épisode (mon dieu ce que le temps passe vite). Pour le découvrir c’est par ici : S’identifier comme une maman rebelle & féministe. Dans cet épisode, je poursuis sur la lancer de l’épisode numéro 2 de Maman se rebelle qui posait les bases de l’archétype d’une maman, rebelle et féministe. La plupart d'entre vous ne s’identifie peut-être pas (encore) comme Maman rebelle & Féministe.
Comment devenir une maman rebelle et féministe ?
Maman Rebelle et Féministe : Un Archétype en Évolution. Découvrez comment l'archétype de la Maman Rebelle & Féministe évolue pour changer le monde. Découvrez les actions quotidiennes qui font la différence et comment vous pouvez vous aussi devenir une Maman Rebelle. Lisez notre article pour en savoir plus. #MamanRebelle #Féminisme #ChangementSocial
Moi, pressée ? Pas du tout. Et vous ?
Alors je sais que c’est la saint valentin aujourd’hui, mais je vais prendre ma séparation comme point de départ de cette newsletter. Et oui, depuis que je suis séparée, j’ai ralenti mon quotidien à la moitié ou même au tiers de la vitesse à laquelle je vivais avant. Qu'est-ce que ça me fait ? Un peu comme si j'étais descendue de la roue du hamster. Et c'est tellement plus naturel ainsi.
Maman Rebelle, un archétype à part entière ?
Explorons l'archétype de la Maman Rebelle, en mettant l'accent sur le sous-groupe de la Rebelle Féministe. Les archétypes, selon Jung, influencent notre comportement. La Maman Rebelle se divise en sous-groupes tels que la rebelle noble, la rebelle anarchiste et la rebelle civile. Pour la rebelle féministe, la rébellion intérieure est cruciale, s'opposant à ses propres croyances limitantes pour impacter positivement la société et ses enfants. Les rebelles féministes modernes bâtissent sur l'héritage des générations passées pour l'égalité des droits, mais il reste encore du chemin à parcourir.
10 façons d’arrêter de râler
...j'avais besoin moi-même d'un petit rappel… Pour la petite histoire, j'ai commencé à écrire cette newsletter à 5h du mat, en vrac, dans le noir, au pied du lit de ma fille Théa 4 ans, malade.... et ceci, après avoir dormi quelques heures en haché. La patate !!!! Alors ce sujet tombait à pic. Aussi, j’ai eu plein de retour sur la newsletter “je veux arrêter de me plaindre, et vous ?”. Ca vous a bien parlé visiblement et vous a fait vous poser des questions (ce qui est précisément mon but dans la vie :) que vous m'avez partagées. J’ai donc essayé de regrouper vos retours/pistes/réflexions/contradictions pour vous les partager à mon tour (vous commencez à me connaître : j’aime que tout ça circule).
J'en peux plus d'attendre.
J’avais prévu de poursuivre la newsletter de la semaine dernière sur “J’arrête de me plaindre, et vous ?” mais je n’en peux plus d’attendre pour vous annoncer la nouvelle.Cela fait des mois que je réfléchis, prépare, rédige, corrige, pense, repense, et corrige encore, que je me forme et que j’apprends plein de nouvelles choses pour mener à terme mon projet de podcast…Et ce jour est arrivé ! Le voici, le début officiel du podcast Maman Se (Re)belle !!Fait avec amour, humour et rébellion 💕 Du coup, j’ai quelques annonces à vous faire aujourd’hui.
Je veux arrêter de me plaindre, et vous ?
J’ai, tout comme vous, des sujets, des personnes, des circonstances dans ma vies qui m’irritent de l'intérieur. Et je suis sûre que vous aussi… Si on n’y fait pas attention, cela va infecter nos pensées et notre système nerveux comme un drogue, et nous rendra vulnérable à l'un des comportements les plus addictifs de tous : se plaindre !!
Les débuts de Maman Se Rebelle
La Maman qui se (re)belle, c’est moi, Anaïs. Je suis une maman qui se rebelle depuis 7 ans. C’est clairement la maternité qui m’a donné le courage de me rebeller contre toutes les choses injustes que j’ai trouvées sur mon passage. Je sens la rébellion tout au fond de mon cœur depuis que je suis née. J’ai toujours trouvé tout un tas de trucs injustes tout au long de ma vie. C’est quand je suis devenue maman pour la première fois que j’ai fait une sacré étape dans ma rébellion en envoyant valdinguer mon travail de juriste pour ouvrir un cabinet en naturopathie.
Je ne vous souhaite pas une bonne année...
Commençons par là : Ça veut dire quoi déjà une bonne année pour vous ? Je trouve que cela entretient la croyance du “si j’ai ça…, alors je peux être heureuse et sans, je ne peux pas être heureuse”. Je ne suis pas d’accord. Pour ma part, passer une bonne année = être heureuse là, maintenant = vivre l’instant présent (vous pouvez aller écouter le mini podcast de France Bleu sur l'instant présent). Je n’ai pas envie d’être dans le passé ni dans l’avenir. J’ai envie d’être dans le présent. Or, se souhaiter la bonne année nous bascule forcément dans l’avenir et par rapport à l'année qui vient de s'écouler (donc le passé).
Le Noël d'une maman qui se (Re)belle.
Et oui, c’est la fin de l’année, l’heure du bilan annuel, la préparation des bonnes résolutions qu’on ne tiendra pas.... et le lot de culpabilité qui va avecEt les nombreuses dichotomies de cette saison me laissent perplexe. Nos enfants enfants ouvrent leurs nombreux cadeaux là où d’autres n’ont rien. Cette esprit de don/surconsommation inutile et justifié par la naissance de Jésus ?! Désolée mais moi ça me dérange. Mon autre vérité est qu'il y a tellement de choses à propos de cette période qui me stimule. Cela fait aussi partie des périodes que j'apprécie le plus. J'aime la préparation rituelle du sapin, la préparation minutieuse des cadeaux et la découverte de recettes familiales pour leur gloire annuelle.
10 façons rapides de gâcher vos vacances de Noël.
Plus que deux semaines avant Noël ! On va aller droit au but… Comment gâcher vos vacances ?
1. Première chose à faire : Faire une affaire personnelle pour les cadeaux de Noël.
Mais dites-vous qu’en donnant moins de cadeaux et plus de présence, non seulement vous remplissez un vide, mais vous vous positionnez contre le concept de de surconsommation inutile, contre le fouillis et le chaos qui en sont venus à caractériser Noël et contre l'illusion que la joie n'a rien à voir avec ces choses. Faites-en un sevrage lent si nécessaire, mais plus vous façonnez vos vacances autour de la tradition, des rituels, de la convivialité et de l’authenticité, moins vous risquez d'être alignée pour les ventes d'après-Noël :) (C'est ironique hein !). Pour vous donner une idée, à la maison, j’ai une liste pour chacune avec 4 cadeaux : un cadeau utile, un vêtement, un jeu et un cadeau inutile (qui peut être un autre jeu). Ça évite la surabondance de plastique sonore le reste de l’année….
2. S'attendre à ce que vos enfants absorbent le cataclysme des fêtes […]
Je crois que nous vivons un moment à la fois critique et puissant de notre histoire.
Tant de choses sont révélées et éclairées, autour de nous et en nous, et nous avons BEAUCOUP à gagner en tant que mères, si nous arrivons à rester concentrées sur ce que je vais vous raconter là : Focus sur la bienveillance. Je dirai même plus (pour reprendre la célèbre phrase des Dupont(d)s) : Nous nous devons de cultiver l’auto-bienveillance. Cette bienveillance envers nous-même. Je dis souvent qu’on parle de bienveillance envers nos enfants mais qu’en est-il de la bienveillance envers les mamans ? Il semblerait que ce ne soit pas à la mode. Donc je vous invite à cultiver cette bienveillance vous-même. Vous y gagnerez aussi en acceptant que, la plupart du stress que nous ressentons provient de systèmes, de notre société, des structures et des récits inadéquats, et non d'insuffisances personnelles (bye bye culpabilité 💋).
Nous nous contentons (et demandons) des miettes.
Nous avons désespérément besoin de satisfaire non pas un, mais plusieurs besoins fondamentaux qui ne sont pas satisfaits (ou même reconnus) par la société dans laquelle nous vivons. Nous nous contentons (et demandons) des miettes. Je reprends : Je ne peux pas vous dire combien de clientes avec lesquelles j'ai travaillé qui, une fois que nous avons enfin réussi à éliminer suffisamment de croyances limitantes pour qu'elles se sentent dignes de s’accorder un tout petit peu de temps pour elles, planifient ou demandent à leur partenaire le strict minimum, comme une heure ou deux de sport.
Pourquoi nous "sabotons" nos moments de solitude en tant que mères ?
Après le tumulte de la rentrée et mon mois de vacances avec les filles, je suis de nouveau devant mon clavier pour vous écrire et je m'interroge sur le temps que s'octroient les mamans : Pourquoi nous "sabotons" nos moments de solitude en tant que mères ? En tant que mère, vous n'êtes probablement pas étrangère à l'enchaînement d'événements suivant : Vous donnez > vous faites > et vous donnez > et vous faites > et vous donnez et vous faites encore…. et ainsi de suite, pour les autres et jour après jour.