Et si on politisait la fête des mères ? Cet article revient sur ses origines de la préhistoire en passant par Pétain. Puis nous regardons pourquoi il serait bon de politiser une telle fête plutôt que de garder uniquement son l’impact commercial.
Et enfin, qu’est ce qu’on peut faire à notre échelle…

En mettant en pratique ces simples stratégies, vous pouvez progressivement passer d'une approche réactive à une approche proactive de la parentalité. Vous serez mieux équipée pour gérer votre temps, prendre soin de vous et de votre famille tout en cultivant un équilibre harmonieux dans votre vie de parent actif.

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La gratitude dans son quotidien

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La colère n'est pas mauvaise. Depuis notre enfance, on nous a appris à s'excuser, à être gentil, mais cela peut conduire à des problèmes. Cela nous pousse à tolérer des limites violées, à garder le silence pour éviter les conflits, à être ce que la société attend de nous. Cela crée des dysfonctionnements et nous blâmons les gens pour leurs réactions plutôt que de comprendre ce qui se cache derrière. La colère est saine, elle indique nos limites, nous dit quand partir ou nous choisir. Si vous êtes en colère, ce n'est pas mal, c'est un signal qu'il faut écouter. Arrêtez de la réprimer pour le confort des autres, écoutez-la, c'est votre alarme intérieure.

Pour cette rentrée, j’avais envie de vous parler de comment faire une bonne rentrée quand on est parent. On entend souvent plein de conseils sur les enfants mais rien sur le bien être des parents… J’ai aussi pensé à vous parler de l’actu : Comme France Inter qui balance une chronique de l’horrible Caroline Goldman et qui a fait l’objet de nombreux signalements de parents, de professionnels et d’associations avec une remise en question de l’éthique de France Inter. Pour aller plus loin, c’est par ici. Où comme Libération nous raconte qu’au XIXe siècle, le moment de la rentrée se décidait en fonction des impératifs agricoles, et qu’aujourd’hui, c’est avec le secteur touristique que l’on arrête les dates. Passionnant, non ? Et bien moi, pour cette rentrée, j’ai envie de revenir à ce qui me passionne, ce qui m’anime : la cause de la mère, la courageuse, l’intrépide, celle qui se révèle petit à petit dans son rôle de mère, pour ne plus faire qu’un avec ce rôle.

Il y a un an, j'ai pris une décision audacieuse : j'ai acheté un ancien camion jaune de la poste et je l'ai transformé en van. Et le weekend dernier, j'ai décidé de partir à l'aventure dans le Jura. Cette expérience m'a rappelé l'importance de poursuivre nos rêves et de prendre des risques pour trouver notre bonheur. Laissez-moi vous raconter mon voyage !

Il paraît que l’ambivalence fait partie de mon charme naturel. Alors aujourd’hui, en ce jour de fête et de célébration musicale, il est naturel de vous parler de deux choses importantes pour moi dans la vie : le sommeil et la fête !! C’est important de se laisser emporter par l'énergie et l'enthousiasme de l'événement. Mais on sait aussi que le besoin de repos et de ressourcement reste présent chez nous, les parents, même pendant les moments festifs. Enfin la dette de sommeil n’est pas la même partout. #meufquiessaetpartoutmoyendêtrebienveillanteenverslesparentsdebebequidormentlanuit

Si vous ne deviez retenir qu’une chose de cet épisode, ce serait que prendre soin de vous n'est en aucun cas un acte égoïste. Au contraire, c'est une nécessité pour votre bien-être global. C'est pourquoi, dans cet épisode, je vais partager avec vous quelques stratégies pratiques pour intégrer le temps pour vous dans votre vie quotidienne déjà bien chargée. Je vous donnerai des conseils concrets pour trouver des moments de détente et de revitalisation, même lorsque vous êtes débordées.

Être maman entrepreneure, c’est rebelle ! Et oui !! Cela défie les attentes sociales traditionnelles et les normes de genre qui peuvent dicter le rôle d'une femme dans la société (ouh punaise, fini la pleine lune et les sorcières…. un peu de convictions !) Ce thème est directement relié à l’épisode de podcast de la semaine prochaine… (oui au teasing en tout genre !) J’ai retenu 4 points pour ma part.

Savoir ce que l’on veut dans la vie. Je raconte un peu mes propres expériences :) Doit-on vraiment savoir ? Mais du coup, c’est quoi “cette vie que je veux” ? Comment faire pour dissiper le brouillard dans votre esprit ? Le secret pour savoir ce que l’on veut faire….

En tant que mère, vous êtes souvent débordée. Vous jonglez entre les devoirs des enfants, les courses, les repas et les tâches ménagères. Il est temps de vous arrêter et de prendre du temps pour vous. Oser se rebeller en tant que maman, c'est prendre du temps pour soi, c'est faire des choix qui vous conviennent et c'est s'autoriser à être la meilleure version de vous-même. Voici quelques conseils pour oser se rebeller et retrouver votre équilibre…

La maternité éveille des émotions contradictoires, entre productivité et ressenti. Les mères répriment souvent leurs émotions pour être efficaces. Cela interroge la valorisation de la maternité dans la société. La bataille entre mental, corps et cœur se manifeste. Le multitâche maternel limite la concentration. L'attachement parental est crucial, mais le manque de pause crée du stress. La crise des soins impacte les mères, nécessitant l'auto-compassion et l'affirmation des besoins. Les 7 principes clés renforcent l'équilibre maternel. Rejeter l'autocritique libère pour un futur épanoui. Les flèches de Bouddha illustrent l'acceptation de la douleur. Agir : accrocher les principes et les lire chaque jour pour transformer la maternité.

L'une des façons les plus courantes de voir des femmes puissantes se saboter est de croire que, parce qu'elles PEUVENT gérer beaucoup de choses (beaucoup de stress, beaucoup de dysfonctionnements, beaucoup de mauvais traitements, etc.), elles DEVRAIENT forcément le faire, sans failles et sans aides. On dit de moi que je suis une femme “forte”. J'étais assez forte pour gérer certaines périodes “touchy” de ma vie, et mes enfants, mon compagnon, mon entourage avaient besoin de me voir “forte”, alors j'ai continué. J'ai ignoré ma petite voix intérieure qui me demandait d’être soulagé, qui me demandait d’être aligner. Cette toute petite voix était si faible que c’était facile pour moi de mettre des œillères. Alors je l'ai minimisée. Je l’ai ignorée. Et j’ai travaillé encore plus dur pour prouver que j’étais cette femme “forte” qui peut tout gérer sans relâche et sans aide. Mais à quel prix ?

Vous êtes vous déjà demandé si votre amour-propre était conditionnel ? Vous savez, l’amour propre, c’est ce sentiment que vous avez de votre dignité ou de votre valeur personnelle. Prenons l’exemple du physique. Aujourd’hui, j'accepte et j'aime mon corps (enfin ça dépend si j’ai mes règles ou pas), mais pour autant, à une époque, les investissements que je faisais pour ce corps ne venaient pas d'un endroit où je voulais prendre soin de moi mais parce que la société/l’entourage me disait qu’il fallait que je sois comme si ou comme ça. J'ai vu ce schéma dans d'autres parties de ma relation avec moi-même.